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LES ACTIONNEURS ET LES CAPTEURS







I- Principales caractéristiques des actionneurs :

I-1 Commande d’un Moteur à courant continu à aimant permanant par API
Pour inverser le sens de rotation d’un moteur à courant continu (MCC) et à aimant permanant, on permute les polarités de l’alimentation. La figure 11 montre le circuit de puissance d’un MCC commandé par deux relais électromagnétiques. Avec cette structure (structure en pont), le moteur peut être alimenté par la source d’alimentation E ou E suivant l’état des relais KM1 ou KM2




Le tableau suivant résume les ordres de commande en tenant compte des conditions de fonctionnement et de la protection de l’alimentation contre les courts circuits.






I-2 Commande d’un MCA en un seul sens de rotation par API


Le circuit de puissance des machines à courant alternatif MCA)(figure 12), nécessite des appareillages de sectionnement, de protection et de commande, ce composant est un contacteur dont la tension de commande est 24V. Dont le cas où on utilise un API, le module de sortie TOR de ce dernier, fourni une tension de + 24V à son sorti Q0.0, la bobine sera alimentée par cette tension et ferme les trois contacts de puissance provoquant l’alimentation du moteur.







Le tableau suivant résume les ordres de commande en tenant compte de la protection du moteur contre les surcharges mécaniques protégé par un relais thermique connecté au module d’entrée(I0.0) de l’API à travers le contact (95 , 96).



I-3 Commande d’un MCA en deux sens de rotation par API

Pour commander un moteur asynchrone triphasé en deux sens de rotations, le circuit de puissance nécessite deux contacteurs K1 et K2 (comme le montre la figure 13) nécessaires pour permuter les deux lignes de phases (ex : 1et 3).





Le tableau suivant résume les ordres de commande en tenant compte dune part, de la protection du moteur contre les surcharges mécaniques (contrôlé par le contact du relais thermique connecté au module d’entrée (I0.1) de l’API), d’autre part contre les cour-circuits entre la ligne1 et 3 (par fausse manoeuvre des deux contacteurs).





I-4 Commande d’un variateur de vitesse par API

Les variateurs de vitesse sont des convertisseurs statiques programmables conçus pour alimenter et commander les moteurs avec sélection ou variation de vitesse. La figure 14 montre un exemple de variateur de vitesse pour moteur asynchrone triphasé et son principe de connexion avec le moteur. Le variateur présente des entrées de commande LI1, LI2.programmables par le variateur pour la sélection de vitesse et une entrée analogique de consigne pour la vitesse. Deux cas son possibles : En utilisant une alimentation externe comme le montre la figure 14, la masse doit être connecté à l’entrée COM du variateur et les signaux des entrées de commandes LI1, LI2.sont fournies par le module de sortie TOR (Q0.0, Q0.1 et Q0.2) de l’API. En utilisant l’alimentation interne du variateur le potentiel 24V du variateur doit être connecté à l’entrée COM du module de sortie de l’API.






Le tableau suivant résume un exemple de fonctionnement pour faire fonctionner le moteur avec 8 vitesses présélectionnées par l’API dont l’une de ces vitesses est assuré par une consigne fournie par le module de sortie analogique de l’API.







I-5 Commande des vérins à doubles effets
La commande des vérins pneumatiques nécessite un distributeur afin de distribuer la pression d’air pour faire sortir ou retirer la tige. La figure 15 montre un exemple utilisant deux distributeurs à commande électrique piloté par le module de sortie TOR (Q0.0 et Q0.1) d’un API.



Le tableau suivant résume les ordres de commande de l’API vers les solénoïdes des distributeurs et en tenant compte de la sécurité mécanique des vérins par une alimentation simultanée des deux solénoïdes




II- Principales caractéristiques des capteurs :
Un capteur transforme une grandeur physique en une grandeur normée, généralement électrique, qui peut être interprétée par un dispositif de contrôle commande comme l’API. Mesurer une grandeur physique pour exploiter correctement un système automatisé il est nécessaire :  De mesurer les variations de certaines grandeurs physiques,
o La vitesse du vent pour un store automatisé
o La pression d’air dans le réseau d’alimentation d’un automatisme pneumatique
o La température de l’eau dans un lave-linge.
 De contrôler l’état physique de certains de ses constituants,
o La position levée d’une barrière de parking,
o La présence d’une pièce sur un convoyeur,
o La présence de pression dans un circuit,
o La position d’un chariot.
Suivant la nature du signal exploitable les capteurs se classent en trois catégories :

CAPTEURS ANALOGIQUES
Le signal délivré est la traduction exacte de la loi de variation de la grandeur physique mesurée. CAPTEURS LOGIQUES
Le signal ne présente que deux niveaux, ou deux états, qui s’affichent par rapport au franchissement de deux valeurs; ces capteurs du type tout ou rien (TOR) sont également désignés par détecteurs.
CAPTEURS NUMERIQUES
Le signal est codé au sein même du capteur par une électronique associée; ces capteurs sont également désignés par codeurs et compteurs.
II-1 Différents types de capteurs TOR :

II-1-1 Capteur de position Les capteurs de position sont des capteurs de contact à action mécanique. Ils peuvent être équipés d'un galet, d'une tige souple, d'une bille. L'information donnée par ce type de capteur est de type tout ou rien.







II-I-2 Détecteur de proximité : Les détecteurs opèrent à distance, sans contact avec l’objet dont ils contrôlent la position (depuis 1 mm à quelques mètres). Un détecteur de proximité interrompt ou établit un circuit électrique en fonction de la présence ou de la non-présence d’un objet dans sa zone sensible. Dans tous ces détecteurs la présence de l’objet à détecter dans la zone sensible modifie une grandeur physique:
Un champ électromagnétique à haute fréquence dans les détecteurs inductifs; La capacité d’un circuit oscillant dans les détecteurs capacitifs, Le niveau d’éclairement d’un récepteur photosensible dans les détecteurs
Photoélectriques. Le choix d’un détecteur de proximité dépend de : La nature du matériau constituant l’objet à détecter, La distance de l’objet à détecter, Des dimensions de l’emplacement disponible pour implanter le détecteur.
II-1-3 Détecteur de proximité électrique : Ces capteurs servent à la détection sans contact de la position du piston des vérins spéciaux. Le relais se ferme à l’approche d’un champ magnétique (aimant permanent sur le piston du vérin) et transmet un signal électrique.

II-1




II-1-4 Détecteur de proximité inductif : Un oscillateur comportant une bobine logée dans un circuit magnétique engendre un champ magnétique alternatif. Ce champ sort du corps de l’appareil par sa face sensible




La présence d’un objet métallique dans ce champ crée des courants induits et provoquent l’arrêt des oscillations. Un circuit de communication met en forme cette information. Selon les modèles, les distances de détection vont de quelques millimètres à quelques centimètres. Leur usage est uniquement réservé à la détection d’éléments métalliques. II-1-5 Détecteur de proximité capacitif : Dans le cas du détecteur capacitif l’objet à détecter fait varier par sa position la capacité d’un condensateur formé par la face sensible du détecteur. Ses caractéristiques lui permettent de détecter tout objet même si celui-ci n’est pas métallique.
Avec un réglage précis, il est possible de détecter un objet à travers une paroi mince et non métallique (liquide ou pulvérulent, à l’intérieur d’un récipient figure 15).
II-1-6 Détecteur de proximité photo électrique :
Figure 19 : Détecteur de proximité capacitif

Figure 20





Avec un réglage précis, il est possible de détecter un objet à travers une paroi mince et non métallique (liquide ou pulvérulent, à l’intérieur d’un récipient figure 15).




II-1-6 Détecteur de proximité photo électrique :
Les systèmes détecteurs de proximités photoélectriques comprennent: un émetteur de lumière visible ou infrarouge, un récepteur photosensible.
L’objet est détecté lorsqu’il interrompt, ou fait varier, l’intensité du faisceau lumineux sur le récepteur. Il existe 3 types de détecteurs photoélectriques : - Le système de proximité, - Le système barrage, - Le système reflex. 

Le système de proximité ;




Un émetteur et un récepteur sont regroupés dans un même boîtier. Le faisceau lumineux, émis en infrarouge, est renvoyé vers le récepteur par tout objet suffisamment réfléchissant qui pénètre dans la zone de détection. Le système barrage. Émetteurs et récepteur sont situés dans deux boîtiers séparés. C’est le système qui autorise les plus longues portées (jusqu’à 30 m). Le faisceau est émis en infrarouge.





Le système reflex ;



Comme pour le système de proximité, émetteur et récepteur sont regroupés dans un même boîtier. En l’absence de cible, le faisceau émis en infrarouge par l’émetteur est renvoyé sur le récepteur par un réflecteur.
II-2 Différents types de capteurs analogiques :
II-2-1 Mesure de positions et de déplacements Capteurs résistifs La piste résistive est placée sur la partie fixe du capteur, et le mouvement mécanique à mesurer est accouplé à un curseur qui se déplace sur celle–ci. La piste résistive est alimentée par une tension continue 24V. On recueille entre l’une des bornes de la piste et le curseur une tension Us qui est directement fonction de la position du curseur sur la piste.


Capteurs inductifs
L’avantage de ce type de capteurs réside dans l’absence de contacts, donc d’usure entre l’élément sensible et le corps d’épreuve. Le noyau magnétique cylindrique constituant l’élément sensible se déplace librement dans les bobines suivant leur axe commun. Il est prolongé par une tige reliée à l’objet mobile dont on veut mesurer le déplacement.




Le déplacement du noyau autour de la position d’équilibre génère une tension représentative de l’amplitude de ce déplacement et de son sens. II-2-2 Mesure de température Thermocouples Le principe de la mesure pour ces capteurs est basé sur l’association de deux fils en métaux de nature différente connectés à leurs deux extrémités. Un courant circule dans la boucle ainsi formée s’il y a une différence de température entre les extrémités appelées « jonctions ». On distingue : la jonction chaude portée à la température Tc la jonction froide portée à la température Tf




La tension E obtenue, est directement liée à la différence de température et à un coefficient « a » dépendant de la nature des deux matériaux constituant le thermocouple E = a. (Tc – Tf)


Thermo-résistances Ces capteurs utilisent la variation de la résistivité des métaux en fonction de la température



Les solutions technologiques utilisées sont orientées vers des matériaux à résistivité élevée, ce qui conduit à utiliser essentiellement le nickel ou le platine malgré leur prix élevé. RT = R0. (1 + a.T) RT résistance à la température R0 résistance à la température de 0°C a coefficient de température du métal T température du métal en °C
II-2-3 Mesure de vitesse Génératrice tachymètrique Une génératrice tachymètrique, appelée également dynamo tachymètrique délivre une tension proportionnelle à sa vitesse de rotation. Le principe de fonctionnement est basé sur la réversibilité de la machine à courant continu. La génératrice tachymètrique est fixée au bout de l’arbre du moteur dont on veut connaître la vitesse de rotation.





Ex : Géné-tachy : 0 – 10V ; Moteur vitesse nominale 1500 tr/min 0 V  0 tr/min 5 V  750 tr/min 10 V  1500 tr/min II-2-4 Mesure d’effort Jauge de contrainte Les jauges de contrainte, parfois appelées jauges électriques d’extensiomètrie, sont les éléments sensibles d’un capteur de force, dans lequel une modification dimensionnelle est traduite par une variation de résistance



Sont application est pour la mesure de force, débit……
II-3 Différents types de capteurs numériques :
LES CODEURS (Mesure de positions et de déplacements) Pour contrôler la position et la vitesse de chariots de manutention, de machines d’usinages, de bras de robots, etc … on utilise souvent des codeurs optiques rotatifs, fixés à l’extrémité de l’axe de transmission de mouvement.






Un codeur optique rotatif est un capteur angulaire de position. Lié mécaniquement à un arbre qui l’entraîne, son axe fait tourner un disque qui comporte une succession de zones opaques et transparentes. La lumière émise par des diodes électroluminescentes arrive sur des photodiodes chaque fois qu’elle traverse les zones transparentes du disque. Les photodiodes génèrent alors un signal électrique qui est amplifié et converti en signal carré avant d’être transmis vers l’API. Il existe deux types de codeurs optiques rotatifs : - Les codeurs incrémentaux - Les codeurs absolus II-3-1 Les codeurs incrémentaux Le disque d’un codeur incrémental comporte 3 pistes : Deux pistes A et B divisées en « n » intervalles d’angles égaux et alternativement opaques et transparents. « n » permet de définir la résolution ou période. La piste A est décalée de ¼ de période par rapport à B. Le déphasage entre A et B permet de définir le sens de rotation.






II-3-2 Les codeurs absolus Les codeurs absolus sont destinés à des applications de contrôle de déplacement et de positionnement d’un mobile par codage. Le disque d’un codeur absolu comporte plusieurs pistes jusqu’à 20, selon les modèles. Comme les codeurs incrémentaux les pistes sont alternativement opaques et transparentes. La résolution d’un tel capteur est de 2 à la puissance n (avec n = nombre de pistes).




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